Ombe, Načelnik et le baiser
Du bleu à
n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir
aveugle.
-
Tu
es… un ange ?
Ombe, Načelnik et le
baiser : première
Du bleu à
n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir
aveugle.
-
Tu
es… un ange ?
Sa voix est
grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes
pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-
Euh…
bonsoir.
-
Jasper,
mais qu’est-ce que tu fais ici ?
-
COUPEZ !
-
Vous
parlez d’envoûtements, ça me concerne en tant que pratiquant de la magie
non ?
-
Non
Jasper cette scène ne concerne que Načelnik et Ombe. Tu interviendras plus
tard, pour l'instant retourne chez toi et prépare-toi, tes scènes aussi seront
cruciales.
-
Ça
va j’ai compris je m’en vais…
-
Oui
merci, Ombe, Načelnik on reprend !
Ombe, Načelnik et le
baiser : deuxième
Du bleu à
n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir
aveugle.
-
Tu
es… un ange ?
Sa voix est
grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes
pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-
Non,
je… suis Ombe.
-
Et
moi Načelnik.
Pourquoi me mens-tu ?
-
Je
ne te mens pas, je m’appelle…
-
…
Ombre et tu es un ange.
-
Pas
Ombre, Ombe !!!
-
COUPEZ !
Načelnik
tu ne vas pas t’y mettre toi aussi !
-
Désolé,
ma langue a fourché…
-
On
reprend et sans langue qui fourche s’il-vous-plaît.
Ombe, Načelnik et le
baiser : troisième
Du bleu à
n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir
aveugle.
-
Tu
es… un ange ?
Sa voix est
grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes
pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-
Non,
je… suis Ombe.
-
Et
moi Načelnik.
Pourquoi me mens-tu ?
-
Je
ne te mens pas, je m’appelle…
-
…
Ombe et tu es un ange.
Il sourit,
ses yeux brillent et, soudain...
-
Hors
de question que je me transforme en guimauve écervelée !!
-
COUPEZ !
Très chère Ombe, reste juste toi-même et tout ira bien tu verras. On reprend.
Ombe, Načelnik et le
baiser : quatrième
Du bleu à
n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir
aveugle.
-
Tu
es… un ange ?
Sa voix est
grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes
pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-
Non,
je… suis Ombe.
-
Et
moi Načelnik.
Pourquoi me mens-tu ?
-
Je
ne te mens pas, je m’appelle…
-
…
Ombe et tu es un ange.
Il sourit,
ses yeux brillent et, soudain, je réalise que je suis à moitié nue, allongée
sur un garou beau comme un rêve qui, lui, est complètement nu.
Je réalise
également que, hormis son prénom, j’ignore tout de lui.
Je réalise
enfin qu’il a retrouvé, nos positions respectives m’ôtant la possibilité d’en
douter, toute sa vigueur.
Son regard
brûlant clame son envie de refermer ses bras sur moi, de m’embrasser, de
m’ôter…
-
COUPEZ !
Ombe adorée, ce livre est aussi destiné à des lecteurs mineurs ! Un peu de
retenue, de discrétion.
-
Tu
m’as dit de rester moi-même, c’est ce que je fais en étant directe.
-
Oui
Ombe chérie mais pas à ce point. On reprend.
Ombe, Načelnik et le
baiser : cinquième
Du bleu à
n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir
aveugle.
-
Tu
es… un ange ?
Sa voix est
grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes
pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-
Non,
je… suis Ombe.
-
Et
moi Načelnik.
Pourquoi me mens-tu ?
-
Je
ne te mens pas, je m’appelle…
-
…
Ombe et tu es un ange.
Il sourit,
ses yeux brillent et, soudain, je réalise que je suis à moitié nue, allongée
sur un garou beau comme un rêve qui, lui, est complètement nu.
Je réalise
également que, hormis son prénom, j’ignore tout de lui.
Je réalise
enfin qu’il a retrouvé, nos positions respectives m’ôtant la possibilité d’en
douter, toute sa vigueur.
Son regard
brûlant clame son envie de refermer ses bras sur moi, de m’embrasser, de me…
Réagis,
Ombe.
L’action est
ton domaine, le réflexe une seconde nature, bouge !
Je me lève
d’un bond, me précipite dans la salle de bains, verrouille la porte derrière
moi et fonce sous la douche encore habillée. Je dois arrêter de penser au garou
dans ma chambre. Une douche froide est requise. Le froid qui me rappelle mon
Québec natal. Les garous sont sensibles au froid ou pas déjà ? Plutôt
glaciale la douche en fait.
-
COUPEZ !
Ombe mon ange pour faire une scène avec Načelnik il est préférable que vous vous
trouviez dans la même pièce. On reprend.
Ombe, Načelnik et le
baiser : sixième
Du bleu à
n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir
aveugle.
-
Tu
es… un ange ?
Sa voix est
grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes
pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-
Non,
je… suis Ombe.
-
Et
moi Načelnik.
Pourquoi me mens-tu ?
-
Je
ne te mens pas, je m’appelle…
-
…
Ombe et tu es un ange.
Il sourit,
ses yeux brillent et, soudain, je réalise que je suis à moitié nue, allongée
sur un garou beau comme un rêve qui, lui, est complètement nu.
Je réalise
également que, hormis son prénom, j’ignore tout de lui.
Je réalise
enfin qu’il a retrouvé, nos positions respectives m’ôtant la possibilité d’en
douter, toute sa vigueur.
Son regard
brûlant clame son envie de refermer ses bras sur moi, de m’embrasser, de me…
Réagis,
Ombe.
L’action est
ton domaine, le réflexe une seconde nature, bouge !
Načelnik n’a pas le temps de faire un geste, je
le plaque sur le lit, l’immobilise d’une clef imparable…
-
Au
secouuuuuurs ! Elle va me tuer ! Ou du moins me casser le bras !
C’est l’ange de la mort ! Une faucheuse d’âme !
-
COUPEZ !
Mais voyons qu’est-ce qui te prend Načelnik ?!
-
Euh…
Désolé… j’ai eu une bouffée de panique. Je crois que c’est à cause du stress post-traumatique
lié à la drogue, au fait que Trulez ait tenté de me tuer, que j’ai failli me
noyer, surtout que...
-
Oui
on a compris Načelnik. Tu vas arriver à gérer ton stress le temps qu’on fasse
cette scène correctement ?
-
Oui
je pense. Ça va mieux maintenant. L’angoisse est passée.
-
Parfait,
on reprend !
Ombe, Načelnik et le
baiser : septième
Du bleu à
n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir
aveugle.
-
Tu
es… un ange ?
Sa voix est
grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes
pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-
Non,
je… suis Ombe.
-
Et
moi Načelnik.
Pourquoi me mens-tu ?
-
Je
ne te mens pas, je m’appelle…
-
…
Ombe et tu es un ange.
Il sourit,
ses yeux brillent et, soudain, je réalise que je suis à moitié nue, allongée
sur un garou beau comme un rêve qui, lui, est complètement nu.
Je réalise
également que, hormis son prénom, j’ignore tout de lui.
Je réalise
enfin qu’il a retrouvé, nos positions respectives m’ôtant la possibilité d’en
douter, toute sa vigueur.
Son regard
brûlant clame son envie de refermer ses bras sur moi, de m’embrasser, de me…
Réagis,
Ombe.
L’action est
ton domaine, le réflexe une seconde nature, bouge !
Načelnik n’a pas le temps de faire un geste, je le
plaque sur le lit, l’immobilise d’une clef imparable…
… et
j’écrase ma bouche sur la sienne.
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