Les Mondes de Clèm: Coupez ! - Nika

vendredi 14 décembre 2012

Coupez ! - Nika


Ombe, Načelnik et le baiser
Du bleu à n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir aveugle.
-       Tu es… un ange ?

Ombe, Načelnik et le baiser : première
Du bleu à n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir aveugle.
-       Tu es… un ange ?
Sa voix est grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-       Euh… bonsoir.
-       Jasper, mais qu’est-ce que tu fais ici ?
-       COUPEZ !
-       Vous parlez d’envoûtements, ça me concerne en tant que pratiquant de la magie non ?
-       Non Jasper cette scène ne concerne que Načelnik et Ombe. Tu interviendras plus tard, pour l'instant retourne chez toi et prépare-toi, tes scènes aussi seront cruciales.
-       Ça va j’ai compris je m’en vais…
-       Oui merci, Ombe, Načelnik on reprend !

Ombe, Načelnik et le baiser : deuxième
Du bleu à n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir aveugle.
-       Tu es… un ange ?
Sa voix est grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-       Non, je… suis Ombe.
-       Et moi Načelnik. Pourquoi me mens-tu ?
-       Je ne te mens pas, je m’appelle…
-       … Ombre et tu es un ange.
-       Pas Ombre, Ombe !!!
-       COUPEZ ! Načelnik tu ne vas pas t’y mettre toi aussi !
-       Désolé, ma langue a fourché…
-       On reprend et sans langue qui fourche s’il-vous-plaît.

Ombe, Načelnik et le baiser : troisième
Du bleu à n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir aveugle.
-       Tu es… un ange ?
Sa voix est grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-       Non, je… suis Ombe.
-       Et moi Načelnik. Pourquoi me mens-tu ?
-       Je ne te mens pas, je m’appelle…
-       … Ombe et tu es un ange.
Il sourit, ses yeux brillent et, soudain...
-       Hors de question que je me transforme en guimauve écervelée !!
-       COUPEZ ! Très chère Ombe, reste juste toi-même et tout ira bien tu verras. On reprend.

Ombe, Načelnik et le baiser : quatrième
Du bleu à n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir aveugle.
-       Tu es… un ange ?
Sa voix est grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-       Non, je… suis Ombe.
-       Et moi Načelnik. Pourquoi me mens-tu ?
-       Je ne te mens pas, je m’appelle…
-       … Ombe et tu es un ange.
Il sourit, ses yeux brillent et, soudain, je réalise que je suis à moitié nue, allongée sur un garou beau comme un rêve qui, lui, est complètement nu.
Je réalise également que, hormis son prénom, j’ignore tout de lui.
Je réalise enfin qu’il a retrouvé, nos positions respectives m’ôtant la possibilité d’en douter, toute sa vigueur.
Son regard brûlant clame son envie de refermer ses bras sur moi, de m’embrasser, de m’ôter…
-       COUPEZ ! Ombe adorée, ce livre est aussi destiné à des lecteurs mineurs ! Un peu de retenue, de discrétion.
-       Tu m’as dit de rester moi-même, c’est ce que je fais en étant directe.
-       Oui Ombe chérie mais pas à ce point. On reprend.

Ombe, Načelnik et le baiser : cinquième
Du bleu à n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir aveugle.
-       Tu es… un ange ?
Sa voix est grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-       Non, je… suis Ombe.
-       Et moi Načelnik. Pourquoi me mens-tu ?
-       Je ne te mens pas, je m’appelle…
-       … Ombe et tu es un ange.
Il sourit, ses yeux brillent et, soudain, je réalise que je suis à moitié nue, allongée sur un garou beau comme un rêve qui, lui, est complètement nu.
Je réalise également que, hormis son prénom, j’ignore tout de lui.
Je réalise enfin qu’il a retrouvé, nos positions respectives m’ôtant la possibilité d’en douter, toute sa vigueur.
Son regard brûlant clame son envie de refermer ses bras sur moi, de m’embrasser, de me…
Réagis, Ombe.
L’action est ton domaine, le réflexe une seconde nature, bouge !
Je me lève d’un bond, me précipite dans la salle de bains, verrouille la porte derrière moi et fonce sous la douche encore habillée. Je dois arrêter de penser au garou dans ma chambre. Une douche froide est requise. Le froid qui me rappelle mon Québec natal. Les garous sont sensibles au froid ou pas déjà ? Plutôt glaciale la douche en fait.
-       COUPEZ ! Ombe mon ange pour faire une scène avec Načelnik il est préférable que vous vous trouviez dans la même pièce. On reprend.

Ombe, Načelnik et le baiser : sixième
Du bleu à n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir aveugle.
-       Tu es… un ange ?
Sa voix est grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-       Non, je… suis Ombe.
-       Et moi Načelnik. Pourquoi me mens-tu ?
-       Je ne te mens pas, je m’appelle…
-       … Ombe et tu es un ange.
Il sourit, ses yeux brillent et, soudain, je réalise que je suis à moitié nue, allongée sur un garou beau comme un rêve qui, lui, est complètement nu.
Je réalise également que, hormis son prénom, j’ignore tout de lui.
Je réalise enfin qu’il a retrouvé, nos positions respectives m’ôtant la possibilité d’en douter, toute sa vigueur.
Son regard brûlant clame son envie de refermer ses bras sur moi, de m’embrasser, de me…
Réagis, Ombe.
L’action est ton domaine, le réflexe une seconde nature, bouge !
Načelnik na pas le temps de faire un geste, je le plaque sur le lit, limmobilise d’une clef imparable…
-       Au secouuuuuurs ! Elle va me tuer ! Ou du moins me casser le bras ! C’est l’ange de la mort ! Une faucheuse d’âme !
-       COUPEZ ! Mais voyons qu’est-ce qui te prend Načelnik ?!
-       Euh… Désolé… j’ai eu une bouffée de panique. Je crois que c’est à cause du stress post-traumatique lié à la drogue, au fait que Trulez ait tenté de me tuer, que j’ai failli me noyer, surtout que...
-       Oui on a compris Načelnik. Tu vas arriver à gérer ton stress le temps qu’on fasse cette scène correctement ?   
-       Oui je pense. Ça va mieux maintenant. L’angoisse est passée.
-       Parfait, on reprend !

Ombe, Načelnik et le baiser : septième
Du bleu à n’en plus finir. Profond à s’y noyer. Beau à s’y perdre. Lumineux à en devenir aveugle.
-       Tu es… un ange ?
Sa voix est grave, un peu rauque, si totalement envoûtante qu’il me faut quelques secondes pour comprendre que la question s’adresse à moi.
-       Non, je… suis Ombe.
-       Et moi Načelnik. Pourquoi me mens-tu ?
-       Je ne te mens pas, je m’appelle…
-       … Ombe et tu es un ange.
Il sourit, ses yeux brillent et, soudain, je réalise que je suis à moitié nue, allongée sur un garou beau comme un rêve qui, lui, est complètement nu.
Je réalise également que, hormis son prénom, j’ignore tout de lui.
Je réalise enfin qu’il a retrouvé, nos positions respectives m’ôtant la possibilité d’en douter, toute sa vigueur.
Son regard brûlant clame son envie de refermer ses bras sur moi, de m’embrasser, de me…
Réagis, Ombe.
L’action est ton domaine, le réflexe une seconde nature, bouge !
Načelnik na pas le temps de faire un geste, je le plaque sur le lit, limmobilise d’une clef imparable…
… et j’écrase ma bouche sur la sienne.


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